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| Auteur | Message |
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L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Cous de Ichigo Mar 25 Aoû - 5:53 | |
| Cours de Ichigo
bienvenue dans mon cours, cher élève.
Tout d'abord, un petit test pour mieux te connaître et savoir quels sont tes goûts et sur quoi tu veux travailler.
- Quelles sont tes lectures préférées ?
- romans fantastique.fantasy/science-fiction
- romans réalistes/classiques
- romans humouristiques, satiriques
- poésies, poèmes
- théatre/comédie
- théatre/tragédie
- bandes-dessinées/mangas
- autre
- je n'aime pas lire
Qu'est-ce que tu apprécie écrire ?
nouvellles romans théatre poèmes fanfictions Role Play autres textes Sur quoi veux-tu t'améliorer ?
grammaire, orthographe syntaxe, style métrique, rimes en poésie cohérence d'une histoire, écriture d'un roman les Role Play les fanfictions autre
Tu peux donner plusieurs réponses ou les préciser. Mets en gras les réponses choisies ou raye les réponses non voulues.
En fonction des réponses de ce test, je te donnerais un ou deux exercices que je corrigerais.(comme tu l'auras remarqué j'ai fait un majestueux copier-coller sur mon précédent cours) |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Mar 25 Aoû - 10:50 | |
| A quoi ça te sert, mon type de textes ? Quelles sont tes lectures préférées ?
romans fantastique.fantasy/science-fiction
romans réalistes/classiques
- romans humouristiques, satiriques
poésies, poèmes
théatre/comédie
théatre/tragédie
- bandes-dessinées/mangas
autre
je n'aime pas lire
Qu'est-ce que tu apprécie écrire ?
- nouvellles
- romans
- théatre
- poèmes
fanfictions
Role Play
autres textes
Tout, mais là je préfèrais éviter le role play, car on ne peut pas le proposer par la suite à un éditeur(et j'aimerais également éviter les fanfics ) ... Sur quoi veux-tu t'améliorer ?
- grammaire, orthographe
- syntaxe, style
métrique, rimes en poésie
- cohérence d'une histoire, écriture d'un roman
les Role Play
les fanfictions
- autre
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| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Mar 25 Aoû - 15:16 | |
| Proposer à un éditeur ? Le but des exercices n'est pas de les publier ensuite. Le but, c'est de t'aider à t'améliorer.
Bon alors...
Exercice numéro 1 :
Ecrit moi un petit texte (environ 20-30 lignes) décrivant un paysage. Ce paysage doit porter une émotion (triste, joyeux, désolé...) ou une impression (vide, foisonnant, austère, moderne...), un sentiment...
Je noterais l'orthographe, la syntaxe, la cohérence... |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Mar 25 Aoû - 15:44 | |
| Certes, je n'en suis pas encore là ... mais si je veux les proposer, qu'est-ce qui m'en empêche ?
Exercice 1 Les massifs montagneux resplendissaient entourés de leurs fleurs. On y trouvait de tout : Des jonquilles, des pissenlits, des roses ... La variété reflétait exactement ce paysage. Les rires des enfants croissaient pendant la journée, alors que les adultes portaient fièrement dans leur coeur cette jolie terre. Rare étaient les adultes n'esquissant pas de sourire au moins une fois pendant la journée. Les massifs donnaient envie de gambader du matin au soir. Quelques rochers s'éparpillaient ça et là. On distinguait également un bon nombre d'animaux sauvages. Aucun bruit néfaste tel que le tir du chasseur ne venait noircir ce magnifique tableau. Aucun élément visuel ne venait ternir la réputation des montagnes. Et, encore mieux, parfois, le paysage s'améliorait. C'était peut-être uniquement une impression, mais une chose est certaine : rien ne lassait les gens de ce paysage. Et les odeurs , qui augmentaient en nombre et en qualité, amélioraient encore les choses.En plus des fleurs, quelques plantes avaient fait leur apparition, même si personne n'en connaissait le nom. A côté des massifs montagneux, lorsqu'on s'y aventurait, un contraste saisissant s'offrait à nous : un paysage austère et désolé, de la fumée qui se dégageait d'anciens rochers brisés. Pour revenir au paysage initial, on voyait les fleurs grandir jour après jour. On apercevait aussi un certain nombre d'arbres : pas moins de cent. Immenses, c'est ce qui faisait le plus la fierté des habitants. Et comme la description des habitants s'avère nécessaire pour comprendre la magie qui résultait de cet étrange monde, je me dois de la décrire : Leurs habits luxueux faisaient d'eux des rois en apparence : la chemise rouge, avec un filet doré au milieu, et leurs pantalons dignes des grands rois ... Afin d'être digne de cette terre, beaucoup de résidents portaient une couronne dorée. A tel point que beaucoup de couronnes sillonaient les chemins. Je vous ai décrit le jour, mais la nuit est bien plus silencieuse. Ainsi, à partir du crépuscule, pas même les insectes ne viennent troubler le repos de ce monde. Et comme tout le monde est rentré, plus aucune odeur n'émane du paysage, à part celles des fleurs.Néanmoins, on percevait quelques imperfections au niveau du trafic routier. Comme il n'y avait aucune route, des conducteurs(de voiture) se permettaient de rouler et de briser la magie de ce monde, en écrasant un nombre impressionnant de fleurs. On peut donc en déduire que si ce monde était remplie de magie "naturelle", des vides béants s'offraient-rarement mais cela arrivait- à nos yeux. Voici ma description d'un paysage : magique, heureux.
Bon j'ai peut-être un peu dérivé, mais j'ai essayé au maximum de rester dans ton cadre ^^
Je sens comme une réprimande dans l'air O__o |
| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Mer 26 Aoû - 12:08 | |
| Les massifs montagneux resplendissaient entourés de leurs fleurs (les fleurs appartiennent-elles aux massifs ?) . On y trouvait de tout : Des jonquilles, des pissenlits, des roses ... La variété reflétait exactement ce paysage (hum... "ce paysage était très varié", et encore). Les rires des enfants croissaient (ça croît, un rire ?) pendant la journée, alors que les adultes portaient fièrement dans leur coeur cette jolie terre. Rare(s) étaient les adultes n'esquissant ("qui n'esquissaient") pas de sourire au moins une fois pendant la journée(ça à un rapport avec le paysage, tout ça ?). Les massifs donnaient envie de gambader du matin au soir. Quelques rochers s'éparpillaient ça et là. On distinguait également un bon nombre d'animaux sauvages (genre quoi ? des shmorlocks ? des plixigrums ? précise un peu). Aucun bruit néfaste tel que le tir du (d'un) chasseur ne venait noircir ce magnifique tableau. Aucun élément visuel ne venait ternir la réputation des montagnes (phrase à revoir car bizarre). Et, encore mieux, parfois, le paysage s'améliorait (ça s'améliore, un paysage ?). C'était peut-être uniquement une impression, mais une chose est certaine : rien ne lassait les gens de ce paysage. Et les odeurs , qui augmentaient en nombre et en qualité (une odeur n'augmente pas, elle deivent plus forte), amélioraient encore les choses.En plus des fleurs, quelques plantes avaient fait leur apparition, même si personne n'en connaissait le nom. A côté des massifs montagneux, lorsqu'on s'y aventurait, un contraste saisissant s'offrait à nous : un paysage austère et désolé, de la fumée qui se dégageait d'anciens rochers brisés (mais que fout donc cette phrase au milieu de ce texte ?). Pour revenir au paysage initial, on voyait les fleurs grandir jour après jour. On apercevait aussi un certain nombre d'arbres : pas moins de cent (beaucoup aurait suffit, on est pas en train de comter les arbres pour éviter la déforestation). Immenses, c'est ce qui faisait le plus la fierté des habitants (phrase à revoir, ya un trucs qui cloche). Et comme la description des habitants s'avère nécessaire pour comprendre la magie qui résultait de cet étrange monde, je me dois de la (les) décrire : Leurs habits luxueux faisaient d'eux des rois en apparence : la chemise rouge, avec un filet (un fil, un filet c'est pour le poisson)doré au milieu, et leurs pantalons dignes des grands rois ... Afin d'être digne de cette terre, beaucoup de résidents portaient une couronne dorée. A tel point que beaucoup de couronnes sillonaient les chemins (ça sillonne des chemins les couronnes ? effectivement, ton monde est étrange). Je vous ai décrit le jour, mais la nuit est bien plus silencieuse. Ainsi, à partir du crépuscule, pas même les insectes ne viennent troubler le repos de ce monde (c'est un monde ou un paysage seulement ?). Et comme tout le monde est rentré, plus aucune odeur n'émane du paysage, à part celles des fleurs. Néanmoins, on percevait quelques imperfections au niveau du trafic routier. Comme il n'y avait aucune route, des conducteurs (de voiture) se permettaient de rouler et de briser la magie de ce monde, en écrasant un nombre impressionnant de fleurs (alors tes habitants ils s'abillent comme des rois mais il ne peuvent pas construire une malheureuse petite route ? en plus, tu as dit tout à l'heure qu'il y avait des chemins). On peut donc en déduire que si ce monde était remplie de magie "naturelle", des vides béants s'offraient-rarement mais cela arrivait- à nos yeux. (Conclusion de description à revoir )
En rouge, les erreurs (surtout des erreurs de cohérence) En bleu, les répétitions |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Mer 26 Aoû - 14:56 | |
| Les massifs montagneux resplendissaient entourés de leurs fleurs (les fleurs appartiennent-elles aux massifs ?) . On y trouvait de tout : Des jonquilles, des pissenlits, des roses, des rochers, des chemins remplis de pierre, des sentiers boueux ... La variété reflétait exactement ce paysage (hum... "ce paysage était très varié", et encore). Les rires des enfants augmentaient (ça croît, un rire ?) pendant la journée, alors que les adultes portaient fièrement dans leur coeur cette jolie terre. Rare (s) étaient les personnes âgées de plus de dix-huit ans qui n'esquissaient ("qui n'esquissaient") pas de sourire au moins une fois pendant la journée (ça à un rapport avec le paysage, tout ça ?). Les massifs donnaient envie de gambader du matin au soir. Quelques rochers s'éparpillaient ça et là. On distinguait également un bon nombre d'animaux sauvages,tels que des loups, des ours, des tigres (genre quoi ? des shmorlocks ? des plixigrums ? précise un peu). Aucun bruit néfaste tel que le tir du (d'un) chasseur ne venait noircir ce magnifique tableau. Aucun élément visuel ne venait ternir la beauté des montagnes (phrase à revoir car bizarre). Et, encore mieux, parfois, le paysage devenait encore plus magnifique qu'à l'accoutumée (ça s'améliore, un paysage ?). C'était peut-être uniquement une impression, mais une chose est certaine : rien ne lassait les gens de ce paysage. Et les odeurs , qui devenaient plus fortes en nombre et en qualité (une odeur n'augmente pas, elle deivent plus forte), amélioraient encore les choses.En plus des fleurs, quelques plantes avaient fait leur apparition, même si personne n'en connaissait le nom. (mais que fout donc cette phrase au milieu de ce texte ?). Pour revenir au paysage initial, on voyait les fleurs grandir jour après jour. On apercevait beaucoup d'arbres. . Ces immenses tiges faisaient le plus la fierté des habitants . Et comme la description des résidents s'avère nécessaire pour comprendre la magie qui résultait de cet étrange monde, je me dois de les décrire : Leurs habits luxueux faisaient d'eux des rois en apparence : la chemise rouge, avec un fil doré au milieu, et leurs pantalons dignes des grands rois... Afin d'être digne de cette terre, beaucoup de résidents portaient une couronne dorée. A tel point que l'on avait la saisissante impression que beaucoup de couronnes sillonaient les chemins Je vous ai décrit le jour, mais la nuit est bien plus silencieuse. Ainsi, à partir du crépuscule, pas même les insectes ne viennent troubler le repos de cette terre. Et comme tout le mondeest rentré, plus aucune odeur n'émane du paysage, à part celles des fleurs. On peut donc en déduire que si ce (monde/terre/paysage ?) était remplie de magie "naturelle", des vides béants s'offraient-rarement mais cela arrivait- à nos yeux.
Et pour la conclusion, qu'est-ce qui ne va pas ?Désolé, j'ai enlevé quelques trucs pour faire "plus propre" mais y'a trop à enlever |
| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Mer 26 Aoû - 15:30 | |
| tu n'enlève pas, tu corrige, tu rectifie, tu trouve des synonymes...
déjà les petites erreurs tu peut les corriger, ensuite les répétitions tu essaie de les arranger. Aux endroits où j'écrit : "précise un peu" tu en rajoute, et les phrases à reformuler tu les reformule |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 3:02 | |
| Les massifs montagneux resplendissaient entourés de leurs fleurs. On y trouvait de tout : Des jonquilles, des pissenlits, des roses, des rochers, des chemins remplis de pierre, des sentiers boueux ... La variété reflétait exactement ce paysage . Les rires des enfants augmentaient pendant la journée, alors que les adultes portaient fièrement dans leur coeur cette jolie terre. Rares étaient les personnes âgées de plus de dix-huit ans qui n'esquissaient pas de sourire au moins une fois pendant la journée. Les massifs donnaient envie de gambader du matin au soir. Quelques rochers s'éparpillaient ça et là. On distinguait également un bon nombre d'animaux sauvages,tels que des loups, des ours, des tigres . Aucun bruit néfaste tel que le tir du d'un chasseur ne venait noircir ce magnifique tableau. Aucun élément visuel ne venait ternir la beauté des montagnes Et, encore mieux, parfois, le paysage devenait encore plus magnifique qu'à l'accoutumée . C'était peut-être uniquement une impression, mais une chose est certaine : rien ne lassait les gens de cette terre. Et les odeurs , qui devenaient plus fortes en nombre et en qualité .En plus des fleurs, quelques plantes avaient fait leur apparition, même si personne n'en connaissait le nom. A côté des massifs montagneux, lorsqu'on s'y aventurait, un contraste saisissant s'offrait à nous : un paysage austère et désolé, de la fumée qui se dégageait d'anciens rochers brisés.C'était si proche de la montagne que l'on ne pouvait que dire que cela faisait partie intégrante de cette terre. . Pour revenir au paysage initial, on voyait les fleurs grandir jour après jour. On apercevait beaucoup d'arbres. . Ces immenses tiges faisaient le plus la fierté des habitant. Et comme la description des résidents s'avère nécessaire pour comprendre la magie qui résultait de cet étrange monde, je me dois de les décrire : Leurs habits luxueux faisaient d'eux des rois en apparence : la chemise rouge, avec un fil doré au milieu, et leurs pantalons dignes des grands gouverneurs... Afin d'être digne de cette terre, beaucoup de résidents portaient une couronne dorée. A tel point que l'on avait la saisissante impression que beaucoup de couronnes sillonaient les chemins Je vous ai décrit le jour, mais la nuit est bien plus silencieuse. Ainsi, à partir du crépuscule, pas même les insectes ne viennent troubler le repos de cette terre. Et comme tout le monde est rentré, plus aucune odeur n'émane du paysage, à part celles des fleurs. On peut donc en déduire que si ce (monde/terre/paysage ?) était remplie de magie "naturelle", des vides béants s'offraient-rarement mais cela arrivait- à nos yeux.
Tout ce que tu me demandais, je l'ai fait, je te parlais juste de la conclusion et d'une phrase en particulier...Tu veux que je repasse en couleur les endroits corrigés ? Et pour le mot"rare", je parle de plusieurs adultes, donc c'est normal qu'il y ait un "s", non ? |
| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 6:50 | |
| - Ichigo Kurosaki a écrit:
- Les massifs montagneux resplendissaient entourés de leurs fleurs. On y trouvait de tout : Des jonquilles, des pissenlits, des roses, des rochers, des chemins remplis de pierre, des sentiers boueux ... La variété reflétait exactement ce paysage (tu n'as pas corrigé l'erreur que je t'ai signalé). Les rires des enfants augmentaient pendant la journée, alors que les adultes portaient fièrement dans leur coeur cette jolie terre. Rares étaient les personnes âgées de plus de dix-huit ans qui n'esquissaient pas de sourire au moins une fois pendant la journée. Les massifs donnaient envie de gambader du matin au soir. Quelques rochers
s'éparpillaient ça et là. On distinguait également un bon nombre d'animaux sauvages,tels que des loups, des ours, des tigres. Aucun bruit néfaste tel que le tir du d'un chasseur ne venait noircir ce magnifique tableau. Aucun élément visuel ne venait ternir la beauté des montagnes Et, encore mieux, parfois, le paysage devenait encore plus magnifique qu'à l'accoutumée . C'était peut-être uniquement une impression, mais une chose est certaine : rien ne lassait les gens de cette terre. Et les odeurs , qui devenaient plus fortes en nombre et en qualité. En plus des fleurs, quelques plantes avaient fait leur apparition, même si personne n'en connaissait le nom. A côté des massifs montagneux, lorsqu'on s'y aventurait, un contraste saisissant s'offrait à nous : un paysage austère et désolé, de la fumée qui se dégageait d'anciens rochers brisés.C'était si proche de la montagne que l'on ne pouvait que dire que cela faisait partie intégrante de cette terre. . Pour revenir au paysage initial, on voyait les fleurs grandir jour après jour. On apercevait beaucoup d'arbres. Ces immenses tiges faisaient ( C'était ces immenses troncs qui faisaient...)le plus la fierté des habitant(s). Et comme la description des résidents s'avère nécessaire pour comprendre la magie qui résultait de cet étrange monde, je me dois de les décrire : Leurs habits luxueux faisaient d'eux des rois en apparence : la chemise rouge, avec un fil doré au milieu, et leurs pantalons dignes des grands gouverneurs ("monarques" est un meilleur synonyme)... Afin d'être digne(s) de cette terre, beaucoup de résidents portaient une couronne dorée. A tel point que l'on avait la saisissante impression que beaucoup de couronnes (tu n'as pas corrigé cette erreur que j'avais signalé) sillonaient les chemins. Je vous ai décrit le jour, mais la nuit est bien plus silencieuse. Ainsi, à partir du crépuscule, pas même les insectes ne viennent troubler le repos de cette terre. Et comme tout le monde est rentré, plus aucune odeur n'émane du paysage, à part celles des fleurs. On peut donc en déduire (mal dit) que si ce (monde/terre/paysage ?) (cet endroit ?) était remplie de magie "naturelle", des vides béants s'offraient-rarement mais cela arrivait- à nos yeux (cette partie de phrase n'a plus rien à faire là, puisque tu as enlevé la partie sur les voitures...)
ils reste encre quelques erreurs mais dans l'ensemble c'est mieux... Fais attention à la cohérence, parfois il y a des choses qui te paraissent évidentes mais qui ne le sont pas forcément, ou certaines choses impossibles.
Tout ce que tu me demandais, je l'ai fait, je te parlais juste de la conclusion et d'une phrase en particulier...Tu veux que je repasse en couleur les endroits corrigés ? Et pour le mot"rare", je parle de plusieurs adultes, donc c'est normal qu'il y ait un "s", non ? (oui mais tu n'en avait pas mis) |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 7:13 | |
| Les massifs montagneux resplendissaient entourés de leurs décorations : des rochers, des chemins remplis de pierre, des sentiers boueux ... La variété reflétait exactement ce paysage (tu n'as pas corrigé l'erreur que je t'ai signalé). Les rires des enfants augmentaient pendant la journée, alors que les adultes portaient fièrement dans leur coeur cette jolie terre. Rares étaient les personnes âgées de plus de dix-huit ans qui n'esquissaient pas de sourire au moins une fois pendant la journée. Les massifs donnaient envie de gambader du matin au soir. Quelques rochers s'éparpillaient ça et là. On distinguait également un bon nombre d'animaux sauvages,tels que des loups, des ours, des tigres. Aucun bruit néfaste tel que le tir du d'un chasseur ne venait noircir ce magnifique tableau. Aucun élément visuel ne venait ternir la beauté des montagnes Et, encore mieux, parfois, le paysage devenait encore plus magnifique qu'à l'accoutumée . C'était peut-être uniquement une impression, mais une chose est certaine : rien ne lassait les gens de cette terre. Et les odeurs , qui devenaient plus fortes en nombre et en qualité. En plus des fleurs, quelques plantes avaient fait leur apparition, même si personne n'en connaissait le nom. A côté des massifs montagneux, lorsqu'on s'y aventurait, un contraste saisissant s'offrait à nous : un paysage austère et désolé, de la fumée qui se dégageait d'anciens rochers brisés.C'était si proche de la montagne que l'on ne pouvait que dire que cela faisait partie intégrante de cette terre. . Pour revenir au paysage initial, on voyait les fleurs grandir jour après jour. On apercevait beaucoup d'arbres. Ces immenses troncs faisaient le plus la fierté des habitants. Et comme la description des résidents s'avère nécessaire pour comprendre la magie qui résultait de cet étrange monde, je me dois de les décrire : Leurs habits luxueux faisaient d'eux des rois en apparence : la chemise rouge, avec un fil doré au milieu, et leurs pantalons dignes des grands monarques.. Afin d'être dignes de cette terre, beaucoup de résidents portaient une couronne dorée. A tel point que l'on avait la saisissante impression que beaucoup de personnes portant des couronnes sillonaient les chemins. Je vous ai décrit le jour, mais la nuit est bien plus silencieuse. Ainsi, à partir du crépuscule, pas même les insectes ne viennent troubler le repos de cette terre. Et comme tout le monde est rentré, plus aucune odeur n'émane du paysage, à part celles des fleurs. On peut en déduire (mal dit) que cet endroit était rempli de magie "naturelle".(cette partie de phrase n'a plus rien à faire là, puisque tu as enlevé la partie sur les voitures...) |
| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 7:29 | |
| Ne fais pas les choses à moitié Ichigo, corrige le reste aussi |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 8:28 | |
| J'ai tout corrigé il me semble ... A part la formation des paragraphes,qu'est-ce qui ne va plus ? Merci et désolé |
| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 9:08 | |
| tu vois pas qu'il y a encore des choses en rouge ? |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 9:40 | |
| es massifs montagneux resplendissaient entourés de leurs décorations : des rochers, des chemins remplis de pierre, des sentiers boueux ... ). Les rires des enfants augmentaient pendant la journée, alors que les adultes portaient fièrement dans leur coeur cette jolie terre. Rares étaient les personnes âgées de plus de dix-huit ans qui n'esquissaient pas de sourire au moins une fois pendant la journée. Les massifs donnaient envie de gambader du matin au soir. Quelques rochers s'éparpillaient ça et là. On distinguait également un bon nombre d'animaux sauvages,tels que des loups, des ours, des tigres. Aucun bruit néfaste tel que le tir du d'un chasseur ne venait noircir ce magnifique tableau. Aucun élément visuel ne venait ternir la beauté des montagnes Et, encore mieux, parfois, le paysage devenait encore plus magnifique qu'à l'accoutumée . C'était peut-être uniquement une impression, mais une chose est certaine : rien ne lassait les gens de cette terre. Et les odeurs , qui devenaient plus fortes en nombre et en qualité. En plus des fleurs, quelques plantes avaient fait leur apparition, même si personne n'en connaissait le nom. A côté des massifs montagneux, lorsqu'on s'y aventurait, un contraste saisissant s'offrait à nous : un paysage austère et désolé, de la fumée qui se dégageait d'anciens rochers brisés.C'était si proche de la montagne que l'on ne pouvait que dire que cela faisait partie intégrante de cette terre. . Pour revenir au paysage initial, on voyait les fleurs grandir jour après jour. On apercevait beaucoup d'arbres. Ces immenses troncs faisaient le plus la fierté des habitants. Et comme la description des résidents s'avère nécessaire pour comprendre la magie qui résultait de cet étrange monde, je me dois de les décrire : Leurs habits luxueux faisaient d'eux des rois en apparence : la chemise rouge, avec un fil doré au milieu, et leurs pantalons dignes des grands monarques.. Afin d'être dignes de cette terre, beaucoup de résidents portaient une couronne dorée. A tel point que l'on avait la saisissante impression que beaucoup de personnes portant des couronnes sillonaient les chemins. Je vous ai décrit le jour, mais la nuit est bien plus silencieuse. Ainsi, à partir du crépuscule, pas même les insectes ne viennent troubler le repos de cette terre. Et comme tout le monde est rentré, plus aucune odeur n'émane du paysage, à part celles des fleurs. Cet endroit était rempli de magie "naturelle", c'était une évidence.
Ca va mieux ? |
| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 9:58 | |
| Là, ça va déjà mieux.
Bon, passons à un second exercice :
Ecris moi une nouvelle (minimum deux pages). Sujet :
Tu es inspecteur de police. Un peutre à été commis. On t'as confié l'enquête. La piste débute dans la maison de celle-ci, une actrice richissime vivant seule.
décrit moi l'enquête, les indices, les suspects interrogés. A la fin, tu doit avoir trouvé le coupable. Ce texte est à la première personne |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 10:54 | |
| Je ne voudrais pas te paraître insolent ou quoi que ce soit mais : une série d'exercices est-elle nécessaire pour m'améliorer, et surtout, en quoi cela pourrait-il m'améliorer dans mon style d'écriture ? Je me demande également si tu as prévu des cours,ou des "trucs" à m 'expliquer ... Et quand tu me dis deux pages, deux pages sur word ? Je te précise tout de même que je n'ai aucune (ou presque) logique...donc ne t'étonne pas si je fais quelques incohérences. Si je te donne ma nouvelle demain ou après-demain, ça ne te dérange pas, j'espère ? |
| | | L Nombre de messages : 2845 Age : 29 Localisation : quelque part entre le Japon et les Etats-Unis Emploi/loisirs : Je n'existe pas pour écrire, j'écris pour exister Humeur : Enfoncée jusqu'au cou dans ses maths Date d'inscription : 16/07/2008
Avertissements Avertissements: (0/0) Explication: | Sujet: Re: Cous de Ichigo Jeu 27 Aoû - 11:10 | |
| non bien sûr
je n'ai pas prévu de "cours" car apparement tu n'en a pas besoin (je n'en fais que quand on me demande de l'aide sur la grammaire, l'orthographe...)
Ces exercices on pour but de t'aider à t'améliorer, pour que tu voie les erreurs que tu fais souvent et t'aider à ne plus les faire
(et c'est pas de logique dont on parle pour cohérence d'un texte, le plus souvent il suffit d'un peu de sens pratiques des réalités et un peu de bon sens)
A mon avis, pour la plupart de tes erreurs, il suffit de te mettre à la place de celui qui lit, en te posant des questions telles que :
-D'où vient ce personnage ? Qui est-il ? -Ce que je viens d'écrire a-t-il un rapport avec le reste ? -Comment ce personnage connaît-il le nom de cet autre ? -Ce que j'ai écrit est-il possible dans la réalité ? (possible, pas probable, probable on s'en fout) -Comment réagit mon personnage ? Cette réaction est-elle normale pour un être humain ? Comment je réagirait, moi ? -Comment mon personnage va-t-il se rendre à cet endroit ? Par quel moyen ? A quelle vitesse ? (prendre en compte le décalage horaire) -Quand mon personnage a-t-il dormi ? (8h par jour, pas comme james Bond, qui ne dort jamais) -Est-ce normal que mon personnage tombe amoureux de cette fille alors qu'il ne la connaît que depuis deux heures ? -Ma phrase est-elle compréhensible ? -Quel est le but de mon histoire ? Comment va-t-elle se terminer ?
Et encore plein d'autres... |
| | | Ichigo Kurosaki Nombre de messages : 1791 Age : 32 Date d'inscription : 16/02/2009
| Sujet: 2C Jeu 27 Aoû - 11:15 | |
| Je te rends le texte, d'abord sans aucune relecture : -Enfin ! Je m’asseyais dans mon bureau. Je venais de résoudre une enquête aussi intéressante que difficile, mais je découvris une heure plus tard que j’avais encore à faire. En effet, mon assistant vint m’informer du meurtre d’une personne fort célèbre. Une actrice que j’appréciais particulièrement, malgré ses quelques défauts. La victime du meurtre se nommait Nayru. Je fus triste d’apprendre cette nouvelle. Sur mon bureau, un ordinateur offert par mon assistant me servait à apprendre la biographie d’une célèbre personne, car c’était elles, le plus souvent, qui se trouvaient attaquées. Ainsi, je pouvais définir le mobile du coupable. Je me rendais donc sur un site de source très fiable, et y dénicha la biographie : Le reste de la biographie se révélait inutile. -Bon ! fis-je. Il faut que je me rende sur le lieu du crime, désormais. Mon assistant, un jeune homme de la vingtaine me suivait sans jamais m’importuner avec des questions inutiles, et en plus, son salaire était maigre, si l’on comparait avec mon porte-monnaie. Je pris un pistolet normal avec trois balles, un autre électrique, et bien sûr, je n’ai pas oublié mes clés de voiture. Je sortis de mon lieu de travail, me dirigeais vers ma voiture, la démarrais, et enfin, j’étais parti pour la ville de Cornos. Lorsque mon assistant et moi nous découvrîmes le village, les gens étaient méfiants, se cachaient dans leurs maisons. Je dus frapper à la première porte venue.Je priais mon assistant de rejoindre la voiture, car je n’avais pas besoin de lui pour le moment. Si j’interrogeais les témoins avant les suspects, cela me paraissait bien plus logique que l’inverse. La première personne que je pus dévisager en détail semblait nerveuse, mais je la calmais. -Bonjour, je suis inspecteur de police, et je souhaiterais vous poser quelques questions. La victime avait-elle des personnes de qui se méfier ? -Eh bien oui, mais de là à tuer cette personne … Ils ne lui jouaient que des petits tours, comme cacher son chat etc… -Je sais que le meurtre a eu lieu ici, mais dans quelle résidence ? l’interrogeai-je.
- - Vous avez certainement remarqué que toutes les habitations étaient en file indienne. Eh bien, vous continuez du côté de ma maison, et
c’est cinq toits plus haut. - Pourquoi personne n’est-il intervenu lors du crime ? questionnai-je - C’est simple : c’était la grande fête du village, et nous la faisons dans un coin lointain, qui appartient pourtant au village. Nous n’avons donc rien pu entendre. Et Nayru était malade ce jour-là…. Bien, merci, je vais informer la police scientifique de ces éléments. Je pris mon téléphone, appelais les scientifiques et les informais : 7 -Bonjour, je vous appelle parce qu’un crime a eu lieu à Cornos, peut-être pourriez-vous relever des indices … -Bien, répondirent-ils. Je rangeais mon téléphone et me rendit vers ma voiture afin d’y « récupérer » mon assistant. Il m’aiderait pour relever certains indices. Je m’approchais de l’habitation désignée par le résident que j’avais interrogé, puis je tournais la poignée de la porte d’entrée … Une atmosphère sinistre régnait. Silence absolu de mon assistant et de moi-même, stupéfié par le massacre qui avait eu lieu. On regardait, ébahis, le canapé renversé, la télé fracassée, le poste de radio détraqué qui produisait des grésillements, la table abîmée, les chaises dépourvues de leur pieds … Et au milieu de ce fatras, une femme ensanglantée, morte. Cette femme, c’était l’actrice que j’aimais. Je n’eus pas de larme, mais de la peine, si. J’avais peur que mon éventuelle partialité me fasse échouer l’enquête. Je considère une enquête comme échouée lorsque le coupable n’est pas sous les barreaux. J’oubliais un instant les sentiments que j’éprouvais pour me concentrer sur ma tâche. La maison en bazar, c’était déjà un indice. Cela supposait, en effet, la présence d’empreintes. Je relevais avec l’aide de mon assistant le canapé, afin que nous puissions discuter tranquillement de l’affaire. -Il faudrait relever des indices avant l’arrivée des scientifiques…me fit remarquer désagréablement mon assistant. -Certes, mais songeons tout d’abord aux possibilités offertes sans les indices, cela apporte une comparaison parfois étonnante. -Faites-moi appeler les suspects désignés par les villageois, je vous prie. Mon assistant m’obéit et me ramena cinq personnes. Je savais pertinemment que le coupable n’était peut-être pas parmi eux, mais je voulais savoir si les villageois d’ici essayaient de régler leurs petites histoires plutôt que de me donner le vrai coupable. C’était une sorte de jeu que j’avais créé avec mon assistant, mais si jamais un jour, j’avais été le détective pour tous les villages du pays où je résidais, je saurais mener bien mieux une enquête à son terme. Le premier suspect qui dut subir mon interrogatoire me paraissait innocent. Nous allions voir .. Je déterminais parfois le calme ou le stress de l’individu, mais le plus souvent, celui qui avait quelque chose à se reprocher était calme. -Que faisiez-vous lors de la nuit du meurtre, il y a deux jours ? commençai-je -Je lisais un livre chez moi. Mais on m’accuse parce que je suis allé sortir les poubelles entre dix heures cinq et dix heures dix. Mais comment aurais-je pu venir ici, tout saccager, repartir, et tout cela en l’espace de cinq minutes ? -Eh bien, vous auriez pu avoir un complice… -Moi, un complice, alors que je n’ai noué aucune relation amicale par ici ? -Vous auriez pu corrompre une personne avec de l’argent … -Venez chez moi, vous comprendrez que je n’ai rien sur moi ! -Je comprends … Amenez-moi le deuxième suspect ! Que faisiez-vous pendant la nuit du meurtre ? A ma grande surprise, l’intéressé rougit, et me bégaya : -Je …Je… Je… dor…dor…mais…a…a…vec ma …ma…com…compagne ! -Et vous n’êtes pas sorti une seule fois ? Le suspect redevint « blanc », et me dit : Je suis sorti une fois pour me promener, j’ai eu de durs moments avec ma femme… ces temps-ci, on ne s’entendait plus très bien, vous savez… Et du coup, je me suis réfugié chez ma mère, qui habite ici aussi. Enfin, je veux dire dans le village… Dans ce cas, pouvez-vous m’expliquer pourquoi certains du village vous désignent comme suspect ? C’est simple, je devais depuis un moment de l’argent à certaines personnes, mais comme je n’ai pas les moyens … Ici on est pas vraiment riches … Et donc, je n’ai pas pu rendre de l’argent, donc on m’a emmené ici. -Bien, faites-moi venir le suivant ! Un gringalet s’approcha vers moi, attrapa mon col avec ses deux mains, et osa me demander : -Ouais c’est toi qui m’a demandé ? Tu veux qu’on s’explique ? -Je veux juste savoir ce que tu faisais pendant la nuit du meurtre … L’homme dégingandé serra plus fort et il commença à m’étrangler. -Alors écoute-moi bien mon bonhomme : ici y’a rien à voir, pigé ? Si je te prends encore en train de jouer au détective, tu vas pouvoir goûter de mes poings … Et moi de ton sang … Il se lécha les lèvres dans l’intention de me faire peur, mais cela ne prit pas. Et ce n’est pas parce qu’il m’avait l’air agressif que je n’allais que m’occuper de lui … -Bien, suivant, m’exclamai-je. Il me lâcha, d'un air dégoûté. Cette fois, ce fut une femme, à l’air douce. Je lui demandais, comme à tous les autres : -Alors, qu’avez-vous donc fait pendant la nuit du meurtre ? -Je surveillais mon fils gravement malade. Il n’y a pas longtemps, une guerre avait éclatée pas loin d’ici. Et mon pauvre fils a été blessé par deux balles ! Je suis étonnée qu’il soit toujours vivant … -Madame, vous auriez pu vous absenter un petit moment, n’est-ce pas ? Et puis, pouvez-vous me prouver que vous avez un fils, et qu’il est malade ? Et quand a eu lieu cette guerre ? Et où ? -Oui, je me suis absentée. Je suis allée chercher un médicament chez le pharmacien pour mon fils. Et oui, je peux vous le prouver, il est chez moi. La guerre a eu lieu en Angleterre, deux ans auparavant. -Pourrais-je poser des questions à votre fils ? -Bien entendu … Et elle partit, sans avoir versé une seule larme, et sans attendre que je donne le signal. -Bien, suivant ! -Bonjour ! Cette fois, apparemment c’était le pharmacien . -Bonjour , il faut que je vous pose quelques questions à propos du meurtre. Que faisiez-vous pendant la nuit de ce meurtre ? -Eh bien je dormais, voyez-vous ! Et… -Et non, je ne me suis pas absenté, me coupa-t-il. -Assistant, pourriez-vous me donner les noms des suspects, s’il vous plaît ? -Le premier se nommait Aristide. Le deuxième s’appelait Faru, la troisième Sensei, et le quatrième Kuro. Enfin, les scientifiques arrivèrent, et ils examinèrent chaque détail.Ca y est ! Nous avons relevé des empreintes sur l’arme qu’a laissées le coupable. Il vous faudra attendre un mois si vous voulez connaître le meurtrier. A moins que vous ne vous sentiez prêt pour relever d’autres indices sans notre aide ? J’ai une idée : j’ai déjà relevé quelque chose qui ne me paraissait pas très clair au niveau des deux derniers suspects. Soit le quatrième ment, soit c’est le troisième qui est le meurtrier, ou plutôt la meurtrière. -Expliquez-moi ça, me demanda mon assistant. -Eh bien, Sensei prétend qu’elle est allée chercher un médicament chez le pharmacien lors de cette nuit. Et Kuro, le pharmacien, prétend qu’il dormait. -C’est étrange, en effet … -Je propose donc que nous attendions de voir les résultats scientifiques, et de mettre en préventive Kuro et Sensei. -Oui, mais je ne trouve pas que ce soit très correct vis-à-vis d’un présumé innocent. -Vois-tu un autre moyen, cher assistant ? -Eh bien … Un long et pesant silence suivit. Finalement, nous décidâmes de faire comme je le voulais. Un mois plus tard, on releva les empreintes de Kuro sur l’arme. Le coupable était donc tout désigné, mon intuition avait été la bonne, j’avais bouclé l’enquête facilement grâce aux scientifiques, il ne me restait plus qu’à rédiger un rapport… Les défauts que j'ai relevé : -Trop d'espace - Peu d'indices -Récit trop bref -Enquête trop facile. Alors, pour le trop d'espace, il faut que je le travaille. Quant à mes trois derniers critères, c'est uniquement le manque d'affinités avec cette histoire ... Mes critères correspondent-ils parfaitement avec les tiens, sont-ils plus "élevés", ou au contraire, me dirais-tu que tu aimes l'histoire ? Je veux bien savoir ce qui va mal dans mon histoire, mais j'aimerais aussi savoir ce qui va bien, si ça ne te dérange pas ... *peut se reposer temporairement* ma dernière phrase est là pour mettre un peu de gaieté dans le cours ... |
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